La première partie en salle, bien qu’en apparence longue, est indispensable pour que le formateur puisse instiller les notions d’éco-conduite sur fond de mécanique, identifier notre façon d’être et de conduire et faire un rappel de sécurité routière. L’intervenant est arrivé à bien animer le groupe et à le préparer pour la session pratique de l’après-midi ou du lendemain.
La partie pratique reste évidemment la plus instructive et est probante, même sur un véhicule de service qui n’est pas le nôtre. 1 heure 1/2 par session de conduite + debriefing serait plus adapté.
A l’usage, la mise en pratique est moins évidente, si le véhicule est un vieux diésel qui s’encrasse vite ou un véhicule électrique où l’éco-conduite va de soi pour conserver de l’autonomie.
Formation très utile qui mériterait d’être complétée par une formation de conduite en conditions difficiles d’intempéries.